Piratage du journal télé pour une prise de conscience nationale
En période de pandémie et de confinement, la population sud africaine a fait face à deux évolutions : d’abord un besoin d’information de la part des gens et donc une consommation accrue de médias puis une hausse des violences domestiques avec des femmes qui se retrouvaient alors bloquées à la maison.
Pour une prise de conscience du problème, l’association POWA (People Opposing Women Abuse) a transformé une présentatrice de journal télévisée avec de la réalité augmentée en lui donnant un visage qui se tuméfiait avec le temps, tout en faisant passer en bandeau d’information sur les violences domestiques. Un filtre a également été créé pour relayer l’opération sur les réseaux sociaux, permettant ainsi aux Sud Africains de prendre conscience de «cet autre problème» lors du confinement.
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